C'est...

Sur le bord de sa fênetre une ange érait... Pensant à tous ces moments... Comment était-elle rentrée dans ce cauchemard ou ce rêve sans fin... Elle se rappella alors d'un poème écrit peu de jours avant...

Un ange entre le monde des cieux et celui de l’enfer,
Vole tout doucement à la recherche du diable,
Tous deux sont des anges et cela ne fait que lui plaire,
Elle veut conquérir son coeur et écrire une fable.

Mais l’ange noir ne veut point de tout cela,
Son bonheur est la douleur et non l’amour,
Si elle continu il la fera souffrir pour toujours,
Il faut qu’elle arrête sinon elle le regrettera.

Ange soit raisonnable et arrête de te tuer !
Il n’est point fait pour toi, il faut te stoper !
Reviens de l’enfer pour revenir dans ton paradis !

Mais l’ange continu sa route vers le bel ange noir,
Elle lui a donné son coeur et rien n’y changera,
Elle fera tout pour être à ses cotés ce soir,
Elle ira jusqu’au bout de ses peines et le trouvera.

Le diable ayant un coeur d’ange ne peut refuser,
A ce coeur qui lui ait offert avec tant de beauté,
Il lui donnera alors tout l’amour que l’on peut offrir,
En essayant le moins possible de la faire souffrir.

Ange penses-tu que tout ceci soit raisonnable ?
Sera-t-il vraiment prendre soin de toi ?
L’amour que tu lui offres sera t-il vraiment rentable ?

L’ange couru dans les bras de l’ange noir et se laissa empoisonnée par le bonheur de l’enfer.
Elle vit alors maintenant dans le monde diabolique des anges...

Mais en pensant rentrer entre l'enfer et le paradis, ce n'est pas comme çà qu'elle arriverai à trouver ce qu'elle cherche vraiment, le paradis. Elle partie donc à la recherche du vraie bonheur en essayant d'oublier tout ce qui pouvait la chagriner. Comme un certain proverbe le dit "Plus facile à dire qu'à faire". Le brouillard se mellait de plus en plus à cet ange maléfique. Des évènements extraodinaires faisaient alors apparaitre le doute. Le doute révelait alors la réalitée... C'est ainsi que cette mortelle souffrance apparue.
Plus le temps passait et plus les évènements faisaient que la souffrance augmentait. Le but de cette ange n'avait toujours pas changé, trouvé le bonheur. Elle écrivit alors pour essayer d'évacuer sa peine.

Ne plus savoir quoi penser et dire, tout garder en silence,
Ne plus trouver comment réagir à cette dure absence,
Penser et rêver à cette personne le jour et le soir,

Un seul désir se montre alors à vous clairement,
Celui de voir vos rêves enfin se réaliser un jour,
Et de garder à jamais cette réalité de sentiments,
Qui vous donnes espoir, mais qui ne réussisent pas pour...

Cela se lisait de plus en plus sur son visage, ses longs silences qui inquiétait. Mais elle il y avait toujours cette volontée, de continuer, pour trouver le bonheur.
Mais d'autre n'étaient pas d'accord.

Laissez moi pleurer en silence...
C’est la meilleure chose à faire...
Je veux plus faire mal à outrance...

Laissez moi pleurer en silence...
J’en peux plus de toute cette souffrance...
Ne jamais pouvoir rien dire...

Laissez moi pleurer en silence...
Je ne sais même pas ce que je ressens...
Çà me tue...me détruit...marre de cette existence...

Stop arretez tout s’il vous plait...
Laissez moi pleurer en silence...
Depuis le temps que j’encaisse sans rien dire...
Ça commence vraiment à déborder...
Je sais qu’il y a pire...
Mais pour mon âme s’en ai trop...
Mon coeur est rempli de barreaux...
Ceci peu à peu coule mon navire...
Tout autour de moi se détruit...
Je ne vois plus rien qui survit...
A par quelques espoirs...
Mais qui ne sont que des rêves infinis...

Mon coeur est rouge et mon âme noir...

Laissez moi pleurer en silence...
Je veux plus faire de mal à qui que ce soit...
Juste à moi car çà n’a pas d’importance...

Laissez moi pleurer en silence...
Laissez moi pleurer en silence...

S’il vous plait...
Laissez moi pleurer en silence...

Le temps passa, cette ange devenait de plus en plus sombre, mais pour elle la douleur était devenue une habitude. Pourtant, trop de soirs, journées, elle était encore la seule à attendre, et la elle craquait...

Dans ma chambre sombre, je vois le temps passer,
À cet ange que j’aime, je ne fais que de penser,
Mon esprit, mon coeur, il m’a complètement envahi,
Peu à peu je sombre, j’ai l’impression que c’est fini,

Mais tu n’es pas la, tu es en train de t’amuser,
Alors que je reste seule, tu t’amuses à rigoler,
Je te pleure avec mon coeur, et tu n’en sait rien,
Tu ne fais que positiver, alors que je ne vais pas bien,

Mes larmes coulent en moi, ma souffrance continue,
À croire que je suis condanée, dans cette sombre rue,
À faire couler mon sang, pour essayé de me soulager,
Être heureuse quelques instants, et ne plus pleurer,

Tout ceci restera en silence dans cet écrit,
Pour pouvoir faire croire que je suis en vie,
Que rien ne me touche, je vais faire comme toi,
Sauf que je ne peux pas, la souffrance est en moi,

À jamais elle y moura, pour essayé d’un jour sourir,
Ne plus sentir ce sang qui coule pour ne plus souffrir,
Essayer de retrouver peu à peu cette âme qui s’est perdue,
Lui offrir ce bonheur tant révé mais jamais vu,

Ce ne sont que vers, essayant de ressortir une souffrance,
Tentant de garder au fond d’eux un peu d’espérance,
Pour qu’un jour la vie soit sans douleur,
Voir disparaitre sur mon visage, ces pleurs...

Effectivement, jamais il ne l'a lu, elle avait réussi à garder sa souffrance pour elle. Ce qu'elle voulait pour pas qu'il n'ai mal.
Tous ces soirs seule, elle écrivait ses plus profondes pensées...

T’aimer est ma source d’inspiration,
À jamais ma plus grande passion,
Je vis seulement pour voir ton sourire,
Sans toi, j’aurai fini de souffrir,
Mis fin à mes jours comme je le veux,
Mais je souhaite que tu sois heureux,
Je souffre pour toi et ton bonheur,
Alors que de cette vie, j’en ai peur.

Mon désir est de partir pour ne plus revenir,
Mais en moi le doute commence à grandir,
Je sais que tu ne liras pas ses vers,
Car déjà te voir est de plus en plus difficile,
Ce que j’écris, ce sont encore des paroles en l’air,
Qu’écris dans sa chambre noire une petite fille,
Qui t’aime et ne vis plus que pour çà,
Mais reste à mes cotés, ne t’en vas pas.

Je ne sais plus quoi faire , à par pleurer,
Au moins tu ne le sais pas et je peux l’ignorer,
Souffrir en silence pour pas que tu vois ma souffrance,
Et que tu ne vois plus que je n’ai plus d’espérance,
Je veux juste partir pour ne plus revenir,
Pour pouvoir enfin arrêter de souffrir,
Mais je t’aime alors je ne sais plus quoi faire,
J’ai trouvé le silence alors je préfère me taire...

Pendant de longs moments elle se tue. La douleur, une habitude, elle ne la différencie plus au reste.
Mais pourtant il a cet ami à qui en parlant des heures le soir, il finie par lui faire dire tout ce qu'elle ressent. Il l'appaise mais... malgrès tout la souffrance est toujours la. Un bonheur d'aimer mais quand on regarde ce que çà coute...
Par moments le tonnerre grondait, et l'organe le plus cher se fêlait par petits morceaux. "Mais non, ce n'est pas vrai, je ne sens rien." "Tu sais très bien que je sais ce que tu ressens même si tu ne veux pas te l'avouer. Ce n'est pas une vie d'avoir mal, secoue toi et réagit." "Oui..."
Puis le tonnerre grondit encore. Cet ange veillant sur elle le vit. Il ne dit rien et lui laissa seulement ses pensées : "Remue toi pour le récuperer. L'amour on le trouve qu'une seule fois." Elle faisait la sourde oreille, ne voulant pas comprendre.
Un matin, il arriva et lui dit, "Tant que tu ne l'auras pas récupéré, tu m'as perdu." Gné ? No pas çà... Tout sauf çà... Pas toi...
Elle compris alors la quête qui lui était donnée. Elle devrait faire ce qu'elle n'arrivait pas depuis maintenant trop longtemps. Elle devrait réaliser presque l'impossible. Pour lui, elle ferait tout. Mais pourquoi lui faisait-il faire çà ? pourquoi ? elle repensa alors à ses paroles... elle compris... elle l'aimait et devait tout faire pour ne pas le perdre.
Déterminée à tout faire, c'était comme si d'un coup le monde était beau.

On peut être coupable de certains coup, mais le savoir et s'en escusé n'est pas quelquechose qui est offert à tous, malheureusement.

Mais le tonnerre grondit plus fort que jamais. Il ne restait alors que des miettes.
Et les paroles de ce veilleur... lui et moi, ou rien...

No...

Ange fidèle Nombre de messages : 61 Age : 36 Date d'inscription : 28/01/2008

sublime