La dernière Bataille

Ange Gardien Nombre de messages : 127 Date d'inscription : 04/03/2007

La haine remonta de l'enfer
Alors que les âmes descendirent en Enfer

Des enfers, rugissaient les âmes damnés,
Noires furent les âmes des Tyrans
La douce nuit les avaient emportés.
Maudit soit le prix du sang!
Cette nuit là, deux frères aveuglés
Se livrèrent un combat sans pitié.
Devant les yeux attristés de leur mère
Et les larmes de leurs pères,
Unis par le sang d’une femme,
Déchirés par la cruauté de leur âme
Ces 2 enfants, ces deux armées,
L’une agressé, l’autre agresseur
Se livrant bataille dans la peur
Écorché, broyé, tourmenté
Tant de mots qui les faisaient vibrer
Leurs haines n’avait plus de frontière
Et lorsque transperçant le bras de son frère
Cette pauvre femme dont les enfants se déchirait
Reçu un coup de poignard dans le cœur
Ô, qu’avez-vous fait à cette femme qui pleur
C’est elle qui de son sein vous donnait le lait
Mais ce lait vous en avez fait du sang
Hors de ma vue vils tyran !
Doucement le champs se vide
Laissant dans le cœurs des belligérant une atmosphère morbide
Les deux frères, les deux armées
Virent sous leurs yeux la mort de leur mère
Elle qui fut tué de la main d’un esprit tourmenté
Elle qui devint parmi tant d’autres, une âme errante

Voici mes frères, l’histoire de l’ultime bataille, ou du moins la légende qu’il en reste aujourd’hui, près de 3.000 ans plus tard. On ne sait si les frères se tuèrent ou se réconcilièrent, mais ce que nous savons, c’est que cette terre autrefois fertile, c’est transformé en un désert aride, sur lequel, si l’on en croit la légende, ère une femme ensanglanté appelant désespérément ses fils..

Les batailles ne laissent point de places aux héroes, Les héroes, ne sont que le fruit de la propagande guerrière, pour faire oublié aux pauvres soldats, qu'il doivent mourrir dans la gloire, car pour eux, il n'y aura que la mort, qu'elle soit douce ou douloureuse, leurs âmes sont condamnées à érrer, loin de leur familles...

Mes frères, vous qui buvez mes paroles, comme le diable à bu le sang de ses pauvres hommes, voyez que les plus grandes batailles, se font dans nos coeurs, et l'espace d'un instant, oubliez vos rancoeurs, ne laissez point la haine guidé votre âme

Leurs âmes sont condamnées à érrer, loin de leurs familles, loin de leurs semblables, car notre puissance les envèra encor plus loin que l'enfer, dans un autre monde ou l'enfer serai presque consideré comme le paradis des morts.
nous sommes les ryders, l'apocalypse est notre territoire, est notre territoire sera leurs tombeaux.

ryder of apocalypse